« quand on a trouvé la lumière, on a du mal à la laisser s'éteindre. »

NOM(S) ▽ écrire ici PRÉNOM(S) ▽ écrire ici ÂGE ▽ écrire ici LIEU ET DATE DE NAISSANCE ▽ écrire ici STATUT ▽ écrire ici OCCUPATION ▽ écrire ici GROUPE ▽ écrire ici CE QU'IL/ELLE PENSE DES BOUTEILLES À LA MER ET DE TOUTES CES LÉGENDES AUTOUR DE TOUT ÇA ▽ écrire ici AVATAR ▽ écrire ici

★ Concernant l'enfance de X, je vous invite à vous référer au scénario de son frère, qui se trouve par ici. S'il vous reste cependant des questions, même après votre lecture, n'hésitez pas à me MPotter. (:

★ Niveau caractère, X est un homme têtu, très têtu, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Tête sur les épaules, il prend ses décisions et s'y tient, contrairement à son frère. Il a toujours rêvé de fonder une famille, et pense l'avoir trouvée aux côtés de Rosie et de sa fille. Il ne s'attendait cependant pas au retour précipité de son très cher frère.

★ Les bouteilles à la mer, il ne supporte pas ça, et trouve même toute cette histoire de légende stupide. Et pour cause, son esprit cartésien ne soutient pas tout ça. Il ne croit que ce qu'il voit, et ce qu'il peut prouver par a+b.

★ Professeur en maternelle, il adore le contact avec les enfants. Le coloriage, c'est même son truc. Non plus sérieusement, il affectionne son métier, et fait partie de ces hommes qui aiment s'occuper de nos adultes de demain.

★ Il a filé une parfaite histoire d'amour avec sa belle-sœur lorsque son mari l'a lâchement quittée, et la considère même à présent comme sa femme. Chose qui vient de tomber à l'eau avec le retour de son frère. Il vient contrecarrer ses plans, et surtout, reprendre une place qu'il ne mérite pas. Une rivalité entre frères pour les beaux yeux d'une jolie blonde ? Cela se pourrait bien.

rosie suzan adams-charley ▽ but i couldn't stay away, i couldn't fight it.

Tu as été là quand tous les autres ne l'étaient pas. Tu m'as entourée de tes bras quand le monde entier me voulait du mal. Tu n'as pas cherché à savoir d'où je venais, ni même où je tenais à me rendre. Tu m'as juste prise en chemin, en stop sur la route de la vie. Le soleil nous frappait bien trop au visage à tous les deux. On avait besoin de se reposer, de s'arrêter un moment sous un arbre. L'arbre d'un amour naissant. L'arbre de nos deux âmes flirtant en harmonie avec le chant des oiseaux. Allongés sur l'herbe verte, tu me montres ce fameux soleil qui nous troublait depuis le départ, et poses délicatement ton pouce sur lui, me montrant qu'il n'est pas plus grand que lui. Qu'au final, nos soucis sont bien dérisoires, comparés à la force de notre amour. Je me relève un instant, tu fais de même, et une ribambelle de papillons multicolores défile devant nos yeux. Une fois cette petite horde passée, je ne te vois plus. Tu as disparu, au moment du retour de mon mari, et ton frère. Lorsque l'un revient, l'autre s'en va. J'étais et suis toujours mariée à ton frère, qui m'a laissée pour retrouver son amante, la mer. Il l'a toujours préférée à tout le reste que tu me disais sans cesse. Pour me consoler, pour me dire qu'il quitte tout le monde de cette façon. Tu as répondu présent lorsque j'étais perdue en trouvant sa bouteille sur la plage, qui me disait qu'il reviendrait, que je ne devais pas m'en faire et qu'on reformerait bien vite notre belle famille. Tu m'as dit de ne pas y croire, qu'il ne faisait que mentir, et de tourner la page. Je t'ai cru, et je voulais tellement fermer les yeux sur la vérité, sur ce que même un aveugle aurait pu voir que j'ai fini par m'en mordre les doigts. Poppy-Lou te considère presque comme son père, et moi comme le mari que je n'ai pas eu la chance d'avoir. Alors je t'en prie, dis-moi que ce n'est pas fini. Qu'on remontera cette pente, que notre amour ne s'est pas éventré sur les roches, son phare ayant été perdu. Dis-moi qu'il nous reste un espoir, quelque part, au fond d'un tiroir. Toi seul peut le faire ; sors-moi de ce trou noir.